Un exemple non professionnel de recherche d’information sur Internet

Etre professionnel de la veille ne signifie pas que nous passons nos journées à travailler.

La détente, cela existe aussi, même si, pour certains d’entre nous, elle se déroule aussi sur Internet.

Amateur de matches de football à mes heures perdues, c’est avec quelque irritation que j’ai vécu la mainmise de Beinsport sur le Mondial 2014 au Brésil.

Mais à quelque chose, malheur est bon, dit l’adage populaire.

Et puis, je dis toujours, lors des formations que j’anime, que faire de la veille, c’est maîtriser au moins une langue étrangère, l’anglais. Certaines entreprises apprécient aussi les anglophones sinophones. Avis aux amateurs…

Alors au lieu de me lamenter, j’ai ouvert Google et mis mes neurones en activité. Voici le résultat de mes cogitations. Bien entendu, la requête est adaptable au gré de vos besoins.

Un aparté au sujet de Google : je suis persuadé que, d’ici 5 ans, le moteur de recherche de Mountain View ne servira qu’à trouver la pizzeria la plus proche de notre localisation, tant l’outil s’oriente vers le particulier, au détriment du professionnel. D’où l’importance de commencer, dès maintenant, à trouver d’autres outils pour scanner notre Web chéri et préféré en quête de données à forte valeur ajoutée. Mais cela n’empêche pas de recourir ponctuellement à Google. A condition de maîtriser l’outil et de ne pas en devenir dépendant…

D’autre part, l’optimisation de l’usage de Google ne dispense nullement de connaître, même sommairement, les sources de données existantes. Ma requête ne mentionne qu’une seule source, mais libre à vous de la remplacer par une ou plusieurs autres. Et de remplacer un événement sportif par votre série ou votre émission préférée. Je suis ainsi la version US de l’émission « The Voice« .

Comme l’a dit un jour Pascal FRION : « Faire de la veille, c’est inventer chaque jour un nouveau moyen d’accéder à l’information« .